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Le Bargento s’est déroulé aujourd’hui à Paris. Je vous propose, pour ceux qui auraient loupé l’événement, un résumé complet de la journée dans cet article. La conférence a réuni plus de 400 participants, et également, via le streaming en ligne, plus de 4000 spectateurs ! N’ayant pas pu aller sur place, j’ai suivi l’intégralité des conférences via le live, et j’ai loupé le tout début de la keynote d’ouverture. Pour résumer avant de passer chaque conférence au crible, les thèmes abordés ne sont pas nouveaux : performances, sécurité, mobile, places de marché, mais permettent d’en savoir plus. La conférence sur Magento2 était très constructive, condensée (en seulement une heure beaucoup de choses ont été expliquées), et nous a projeté dans l’avenir de la solution Magento. Bien entendu, ayant suivi le Bargento uniquement sur Internet, je suppose qu’il y a du se passer plein d’autres superbes choses à côté de ces conférences !

Voici le sommaire pour accéder à chaque conférence :
Sophie Gonin présente Magento en quelques chiffres
Déployer son e-commerce sur Mobile : stratégie et mode d’emploi – par Florent Sabourin du Groupe Smile
La « Performance Intelligence » – par Guillaume Thibaux de Quanta Computing
Les sites e-commerces sont devenus la cible préférée des hackers – par Philippe Humeau de NBS System
Proposez un site différent pour chaque visiteur – par François Ziserman de Target2Sell
Magento 2 : is « to migrate or not to migrate » the right question ? – par Gabriel Bouhatous de e-Commerce Academy
Marketplaces: validation et remontée de vos commandes à partir de votre back-office Magento – par Michaël Froger de Lengow

Sophie Gonin présente Magento en quelques chiffres

Sophie Gonin, qui est Strategic Account Manager chez Magento, nous a permis d’en s’avoir plus sur les chiffres de la plateforme :
– Plus de 240 000 entreprises utilisent Magento, toutes éditions confondues
– Environ 3000 sous licence Enterprise
– + de 26 milliards d’euros de chiffre d’affaire généré en 2013
– + de 300 partenaires (Technologies et intégrateurs)
– + de 6000 extensions sur Magento Connect
– + de 3000 développeurs certifiés
C’est le fournisseur principal en Amérique du Nord (numéro 1), et il partage la 2è place avec IBM en Europe.

Il représente 30% de parts de marché dans les 100 000 premiers sites du top Alexa, et environ les mêmes parts dans le monde, et arrive même à 45% en Australie.

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On enchaîne ensuite avec le caractère communautaire de Magento, et surtout le rayonnement mondial de la plateforme. Pour terminer, Sophie nous présente une roadmap pour Magento 2 avec version Bêta dev en fin 2014, une realase candidate début 2015 et un déploiement de la plateforme pour fin 2015.

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Déployer son e-commerce sur Mobile : stratégie et mode d’emploi – par Florent Sabourin du Groupe Smile

On se rend compte que les outils de tracking actuels ciblent uniquement l’utilisateur sur un seul device. Avec la multiplication des canaux, et les modifications d’habitudes de navigation, on nous montre que pour analyser le parcours complet d’un client, le tracking devient multidevice.

Le client devient donc autonome, il va utiliser le smartphone ou la tablette à domicile, plus confortable que l’ordinateur, mais le smartphone sera aussi utilisé en déplacement, pour se distraire ou pour trouver une information rapidement. Le site mobile adapte donc son affichage, mais doit aussi adapter son contenu. Le contexte d’utilisation devient donc un facteur non négligeable, mais très difficile à prendre en compte. Où l’utilisateur utilise-t-il son mobile? Quels sont ses intentions? Ses états d’âmes? A t-il du temps devant lui ou est-il pressé? Ce sont donc de multiples facteurs qui vont influencer la navigation du consommateur.

On apprend aussi qu’un email sur deux est lu sur mobile, ce qui force ces emails à être responsive, lisible sans images et à avoir un sujet lisible sur les messageries mobiles. Le consommateur est aussi friand de bonnes affaires, que ce soit coupons de réductions, QR code, SMS, il ne néglige aucune méthode pour réduire sa facture finale. A tel point que des offres promotionnelles peuvent arriver en push sur vos smartphone lorsque vous approchez telle ou telle boutique. Mais attention à ne pas virer dans le spam avec ces notifications, ce qui pourrait écorcher la relation d’une entreprise avec ses consommateurs.

Autre point abordé : le Big Data, et quoi de mieux pour alimenter ces gigantesques bases de données que de stocker que les interactions des utilisateurs avec leur smartphone?
Après la collecte des données, le paiement via NFC est amené à se démocratiser dans les prochaines années. Un site mobile ne suffit donc plus pour une marque, il lui faut s’adapter à tout l’éco-système mobile (avoir les coordonnées de ses magasins physiques sur Google Maps par exemple)

Dans les magasins physiques, les écrans facilitent aussi la recherche de produits par le biais d’une borne, mais les vendeurs peuvent aussi vous assister avec des tablettes, pour vous conseiller et prendre votre commande. On peut même avoir accès aux données CRM, proposer de commander un produit qui n’est plus en stock dans le magasin, mais disponible dans un autre etc…

Revenons au sujet de la disponibilité d’une marque sur mobile, celle-ci peut se faire de 3 façons différentes :
– Via une application native (Google play, Apple Store, Etc..)
– Via une application hybride (Un site mobile compilé dans une application)
– Via un site mobile / site responsive

Quand on parle de responsive, il ne faut pas confondre Fluid Design et Responsive Design. Un site en « Fluid » va se redimensionner selon le device, mais le contenu sera le même. Alors qu’un site en responsive va adapter son contenu. Un sité dédié au mobile, quant à lui, sera totalement différent de la version desktop. Il y’a donc plusieurs méthodes et certaines peuvent êtres combinée entre-elles.
Comment choisir telle ou telle méthode?
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Plusieurs challenges à affronter. Le 1er est de pouvoir proposer un site responsive moins lourd et plus rapide sur mobile, et aussi de pouvoir proposer une solution en mode « déconnecté » pour les utilisateurs sans Internet (transports en commun, des appareils en self-services etc…)
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La « Performance Intelligence » – par Guillaume Thibaux de Quanta Computing

L’optimisation de sa boutique Magento est non négligeable. En gagnant 2 secondes de chargement, un marchand augmente le nombre de pages vues de 21% et le taux de conversion de 27% ! Les grands acteurs du Web optimisent également leurs sites, pour augmenter leurs revenus et/ou leur trafic. Un graphique montre que les clients qui viennent sur le site suite à une offre marketing sont encore moins patients que les clients classiques, et que le plus gros de l’amélioration se fait dans les premières secondes de chargement. Même si votre site est rapide, il faut le rendre ultra-rapide ! Pour la partie mobile, les utilisateurs ont encore un peu de patience, mais avec l’augmentations des débits (4G), il faut commencer à penser à l’optimisation mobile dès maintenant.

Comment cibler un problème de performances ? C’est bien là la question de multiples marchands en ligne ! Avec la multiplication des services et des prestataires liés au site, dur de pointer du doigt quelque chose/quelqu’un. De plus, chaque service à un interface différente (Admin Magento, suivi d’activité des serveurs etc…). Le but de la performance intelligence est de regrouper toutes ces données dans une seule interface, et de combiner les informations pour avoir des indicateurs sur la santé de sa plateforme. Une application peut être mise en place aussi au sein de Magento pour avoir un profiling de l’applicatif, et permettra de savoir quelle page est la plus longue à charger durant le checkout, par exemple.

Mais alors comment compter le temps de chargement ? Et bien il se décompense en deux parties, le temps de chargement serveur, qui est un écran blanc sur votre navigateur, et le temps navigateur, qui variera selon la connexion de l’utilisateur, mais qui affiche la page à l’écran. Pour prendre un exemple concret, les 25 plus gros sites sous Magento de France sont trop lents ! On arrive en moyenne à 398ms de temps de réponse, au lieu de 100ms recommandées. Et quand le client et loggué à son compte on atteint même 602ms ! Il ne sont pas tous mauvais certes ! Et on nous prouve même qu’il y a de très bons élèves, avec la meilleure performance à 52ms / page ! Magento peut donc être une plateforme RAPIDE, contrairement à ce que peuvent penser certains. Il est donc capital d’investir dans l’optimisation de sa boutique, pour augmenter son bénéfice !
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Les sites e-commerces sont devenus la cible préférée des hackers – par Philippe Humeau de NBS System

On enchaîne ensuite avec un autre sujet à ne pas prendre à la légère : la sécurité.
– En 3 ans les vols de données ont augmenté de 67%
– Un site marchand est exposé aux risques 328 jours / an (à cause des failles de ses sources)
– La cybercriminalité a coûté plus de 400 milliards de dollards en 2013
– La fraude à la CB a touché 67 millions de personnes en 2012
– Le marché mondial sur internet représente  4 trilliards de dollards de transactions en 2013
– 61% du trafic web est effectué par des machines
– Un internaute français utilise en moyenne 2 mots de passe différents (ce n’est pas assez du tout !)
– Une base de mots de passe chiffrés ne suffit plus. Une base peut être déchiffrée en quelques heures.
Le soucis, c’est que les robots détectent très rapidement les failles (quelques secondes, quelques minutes), alors qu’un marchand s’en rendra compte plus tard, et fera l’état des lieux des dégâts.

Après ces annonces un peu fatalistes, il faut savoir que Magento, nativement, est globalement bien sécurisé. Ce sont les développements personnalisés, ou modules ajoutés à la plateforme qui sont la cause des fuites de données.

Le piratage est bénéfique pour les hackers car il peuvent récupérer des coordonnées bancaires, des données personnelles (qui seront revendues), et peuvent avoir votre catalogue de produit complet. Concernant le dernier point, il faut savoir que les concurrents du marchand peuvent également être intéressés par tant de données et vouloir vous pirater. Qui que ce soit, les moyens sont divers et variés, et il est important de noter que le piratage devient lui aussi multicanal :

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Voici quelques moyens afin de sécuriser son site aux attaques :

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Un système infaillible est utopique, mais vous pouvez déjà vous protéger de beaucoup d’attaques avec ces conseils. Une fuite de données pourrait nuire à la confiance des consommateurs d’une marque, et il faut savoir que même les grosses enseignes se sont déjà faites hackées.
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Proposez un site différent pour chaque visiteur – par François Ziserman de Target2Sell

Le cross-selling, utilisé par beaucoup d’enseignes, a un gros inconvénient : il est le même pour tout le monde. En revanche, avec une touche de personnalisation, et le ciblage des habitudes du client, on peut lui proposer des produits spécifiques. Le but principal étant d’augmenter le panier moyen, mais aussi le taux de conversion. De plus, cela permet aussi aux marchands de gagner du temps sur la saisie des cross-sell.

Quand on pense à proposer des produits à l’utilisateur, c’est souvent dans la fiche produit. Mais pourquoi pas élargir le champ d’application à cette recommandation personnalisée?
– Sur la page d’accueil, pour avoir une homepage à l’image du client
– La pop-up d’ajout au panier
– Et pourquoi pas sur une page d’erreur ou la page 404, ces pages sans contenu vraiment utile.

Comme la plupart des sujets que l’on a abordé précédemment, la recommandation personnalisé est également multicanal et on peut cibler d’autres endroits stratégiques sur le site mobile/tablette.
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Magento 2 : is « to migrate or not to migrate » the right question ? – par Gabriel Bouhatous de e-Commerce Academy

Retrouvez la présentation de Gabriel à cette adresse : http://blog.academy-ecommerce.com/magento-2-au-dela-du-changement-de-version-un-changement-de-paradigme#presentation

Et son intervention vidéo ici : http://blog.academy-ecommerce.com/bargento-2014-conference-magento-2-et-atelier-magento-1-x#video

Après avoir été présenté il y’a de cela 4 ans, pas mal de choses se sont passées en interne chez Magento, qui ont bouleversé le développement de cette version, le rachat par eBay par exemple. Voici ce qui s’est passé après ce rachat :

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Magento 2 va repartir vers de nouvelles bases, sans devoir garantir une rétro-compatibilité avec les version1.x, il faut donc revoir tous les développements et les thèmes des version 1.x. De plus, le temps laissé aux équipes de Magento a permis d’aboutir à des solutions matures, et de tester des fonctionnalités, qui ont été retirées ensuite (Le moteur de template Twig a été implémenté, et retiré par la suite). Cette nouvelle mouture de la plateforme e-commerce se veut aussi plus transparente. Toutes les sources sont disponibles sur Github, mais aussi toutes les modifications apportées au code par les équipes. Une documentation technique sera également, et enfin, présente, ainsi que des webinaires. Il est important de noté que la documentation est à prendre avec des pincettes pour le moment, car Magento 2 est amené a subir encore beaucoup de changements avant sa sortie finale.

Côté nouveauté, des images valent mieux qu’un long discours :

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On remarque donc l’arrivée native de jQuery (adieu prototype), l’implémentation de Less CSS et de RequireJs. Pour certains points, on remarque que tout était déjà possible/fait sur les versions 1.x de Magento, mais vont débarquer nativement dans la version Community de Magento2 :
– Le full page cache (via Reddis en interne, Varnish en externe)
L’indexation partielle (qui était déjà native à Magento EE 1.13)
A noter également, le respect des normes de codage : PSR-0, PSR-1, PSR-2 et PSR-4.

Une grosse nouveauté dans Magento2, c’est l’arrivée d’outils de tests, qui étaient totalement absents dans les version 1.x.

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Tout à l’heure, nous avons vu que Magento2 partait sur de nouvelles bases. En effet, Magento1 était déjà modulaire, Magento2 le sera encore plus, et encore mieux :
– Disparition de la classe finale Mage
– Utilisation des namespaces (apparus à partir de PHP 5.3)
– Les « injections de dépendances » remplacent nos anciens « rewrites »
– Les « Intercepteurs » et les « Plugins » remplacent les « events »
– Un Service Layer global, accessible par les API
A noter qu’autant de flexibilité vous obligera à devoir compiler votre code pour les plugins et les intercepteurs.
Pour les curieux, voici un schéma de Magento1 : https://twitter.com/MaximeHuran/status/519496213272723457
Et ici un schéma de Magento2 : https://twitter.com/MaximeHuran/status/519496500490276864.
A noter aussi que d’anciens très gros modules, ont été divisés en plusieurs petits modules : le module catalog et le module checkout.
En terme de sécurité, on remarque également que seul un dossier sera public sur le serveur : le dossier pub.
Et pour les plus expérimentés, tels que les développeurs, et intégrateurs voici les nouveautés de Magento 2 :

Côté développeur
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Côté intégrateur
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Magento2 vend du rêve, il a l’air plus simple, mieux, plus fexible, plus tout ! Mais attention, il risque aussi d’être plus compliqué :
– Avec l’arrivée des namespaces, que peu de développeurs PHP ont déjà utilisé
– Les concepts techniques opposés à ceux des version 1.x
– Concepts techniques « récents » pour PHP
– Risque de sur-modularité? A vouloir être trop modulaire, Magento2 irait-il trop loin dans la complexification ?
Beaucoup d’habitudes acquises avec Magento 1.x qui vont devoir être revues mais qui permettent d’avoir un socle Magento 2 nativement testable, et nativement testé. C’est avec ce socle que les bases techniques sont mises en place, pour pouvoir y ajouter de nouvelles fonctionnalités. Pour le moment, côté nouveautés, on notera l’intégration de Google AdWords, et le moteur de recherche (ENFIN !) amélioré. L’éditeur visuel qui était présent de MagentoGo (disparu depuis), sera également intégré dans Magento2, ainsi qu’un éditeur de templates. 2015 nous annonce donc beaucoup de bouleversements dans le monde de Magento !
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Marketplaces: validation et remontée de vos commandes à partir de votre back-office Magento – par Michaël Froger de Lengow

Les marketplace permettent de vendre vos produits sur des sites autres que le votre, a ne pas confondre avec les comparateurs, qui ne font que rediriger le client vers votre site. Ici, vous allez devoir exporter votre catalogue vers les places de marchés, mais aussi les offres sur vos produits.
Il est important de savoir que les places de marché n’acceptent pas tout type de catalogue. Cela peut dépendre des univers qu’ils ont ouvert à la vente, mais aussi de leur stratégie par rapport à des marques. Malheureusement, chaque marketplace utilise ses technologies, on peut vous demander d’envoyer des XML, des CSV ou d’autres formats. Les protocoles peuvent varier également (ftp, api, sftp etc…)

Après avoir envoyé vos produits sur les places de marché, il vous faudra gérer les commandes de chacune des places. Sachant que les workflow de commandes peuvent être aussi différents d’une place à une autre, pour gagner du temps, l’idéal est de connecter votre backoffice Magento à un outil comme Lengow, Neteven ou autre :
– Une seule interface pour gérer vos flux
– Gestion des commandes globale
– Synchronisation des statuts de commande

Une chose est sûre, c’est que si vous souhaitez passer par les places de marché, il vous faudra un partenaire pour pouvoir gérer ce projet.
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Rendez-vous en 2015 !

Pour finir, et pour parler de mon point de vue plus personnel, j’ai adoré la conférence sur Magento2 (étant développeur Magento ça paraît logique). Mais j’ai aussi apprécié la conférence sur la sécurité, car c’est une partie du web que je ne connaît pas du tout, et ça m’a permis d’avoir une idée des solutions à ces potentielles attaques. Au final, beaucoup de choses que l’on savait déjà, et le multicanal est de plus en plus au coeur des problématiques.

Je ne vous promet pas de suivre d’aussi près l’édition 2015 sur le site, mais j’espère que cet article vous a plu !

Le Bargento 2014, le résumé complet
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2 thoughts on “Le Bargento 2014, le résumé complet

  • 16/10/2014 à 08:40
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    Énorme ton résumé !
    Super détaillé..

    J’y étais mais je n’ai pas retenu autant d’information ! Et surtout il était impossible de voir toutes conférences en parallèle.
    La conférence sur la connexion ElasticSearch Magento de Smile était assez intéressante aussi. Ils ont fait un boulot monstre, c’est normalement dispo sur GitHub.

    J’espère que tu seras présent au prochain Bargento, voir à la MageConf dans 1 mois !

    Fred

    Répondre
  • 16/10/2014 à 08:49
    Permalink

    Après c’est sur il faut faire son choix entre les différentes conf ^^
    Y’en avait une sur Zend qui avait l’air sympa aussi.
    Pour la MageConf pourquoi pas 🙂

    Répondre

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